Marbella, scandales et rebondissements : l’épopée de Théo Hernandez

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Théo Hernandez


En 2017, la scène semblait tout droit sortie d'un scénario improbable : une nuit étoilée à Marbella, une discothèque animée, et un défenseur français pris dans une tempête médiatico-judiciaire. Théo Hernandez, alors jeune espoir du football, se voyait accusé d'agression sexuelle par une mannequin russo-espagnole de 20 ans, Luisa Kremleva.


L'histoire aurait pu marquer les esprits, mais elle a fini par s’effondrer comme un château de cartes. Verdict ? Luisa Kremleva a été condamnée pour fausse dénonciation. Sa peine : six mois de prison et une amende d’environ 1 800 euros. La morale ? La vérité finit toujours par sortir, même des boîtes de nuit.


Retour sur terre, direction la justice


Théo, de son côté, avait été acquitté sans même passer par la case inculpation. La plaignante, dans un geste de mea culpa tardif, avait avoué avoir inventé l’histoire. Elle racontait une altercation dramatique : des rapports forcés dans une voiture, suivis d’une chute brutale provoquée par le joueur. Mais cette version des faits s’est avérée être aussi solide qu’un ballon de plage face à un coup franc.


Un nouveau chapitre dans la saga Hernandez ?


On pourrait croire que l’affaire était derrière lui, mais le défenseur semble abonné aux ennuis nocturnes. En décembre dernier, une nouvelle polémique éclate. Deux femmes l’accusent de violence lors d’une autre virée en boîte de nuit. Et pour ne rien arranger, Fabrizio Corona, le paparazzo le plus controversé d’Italie, en rajoute une couche en publiant des images de vidéosurveillance.


Théo Hernandez, star du football et héros malgré lui de séries judiciaires, nous rappelle une leçon précieuse : si le football est un sport de contact, la vie, elle, l'est bien davantage.

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