Le Paris Saint-Germain est prêt à faire des affaires cet hiver, mais avant de s’offrir de nouvelles pépites, il doit d’abord vider son grenier.
Problème : personne ne semble prêt à casser sa tirelire pour les « objets » en vente. Entre Randal Kolo Muani, Milan Skriniar et Marco Asensio, les prétendants se bousculent, mais leurs propositions ressemblent davantage à des offres de vide-grenier qu’à des transactions sérieuses.
Luis Campos et Luis Enrique, les chefs d’orchestre frustrés
Le duo Luis Campos-Luis Enrique avait pourtant un plan : vendre les indésirables pour ouvrir la voie à une ou deux recrues stratégiques. Mais voilà, le marché est aussi gelé que les températures hivernales, et personne ne veut payer le prix demandé pour les stars en solde du PSG.
Skriniar ? On propose un prêt sans engagement, comme si c’était un canapé qu’on testait avant d’acheter. Asensio ? Même traitement, et le PSG a déjà dit « non merci ». Quant à Kolo Muani, tout le monde le veut, mais à condition d’avoir une ristourne XXL. Résultat : Paris est coincé, et les cartons de déménagement restent dans le placard.
Des offres bidons et des rêves bloqués
Selon le compte PSG Inside Actu sur X (anciennement Twitter), le PSG est traité comme une « vache à lait ». Autrement dit, les acheteurs espèrent obtenir des joueurs au rabais, mais Paris ne compte pas se faire plumer. « Pas d’offre correcte pour Skriniar, refus pour les prêts de Kolo Muani et Asensio », résume le compte spécialisé.
La Premier League, dernier espoir ?
Côté optimisme, tout repose désormais sur les clubs anglais, toujours prêts à dégainer des sommes astronomiques pour renforcer leurs équipes. Kolo Muani pourrait bien être sauvé par un chèque venu de Manchester United, Liverpool ou même Aston Villa. Mais tant que ces offres mirobolantes n’arrivent pas, le PSG reste englué dans son mercato.
Avec un peu de chance (et beaucoup d’euros), Paris pourrait enfin débloquer sa situation. En attendant, Luis Campos et Luis Enrique croisent les doigts, tout en espérant que l’hiver parisien ne se transforme pas en une interminable traversée du désert.