L’après-Deschamps commence à prendre forme, et le suspense ressemble de plus en plus à une mise en scène bien huilée. Alors que la Coupe du Monde 2026 marquera la fin d’une ère pour l’équipe de France, un nom s’impose pour lui succéder : Zinedine Zidane. Même Thierry Henry, un temps évoqué, a préféré tirer sa révérence avant même d’entrer dans la danse, laissant la voie libre à son ancien coéquipier.
Un soutien qui vient de haut
La question ne semble même plus se poser dans les hautes sphères de l’État. Marie Barsacq, ministre des Sports, ne cache pas son enthousiasme à l’idée de voir "Zizou" prendre les rênes des Bleus. "Zidane m’a fait rêver et il nous fait encore rêver", a-t-elle confié à La Dépêche du Midi. Un hommage qui résonne comme une validation anticipée.
Et il faut dire que sur le papier, le casting est cinq étoiles. L’ancien maestro du Real Madrid, auréolé de trois Ligues des champions et de deux titres de champion d’Espagne, coche toutes les cases. "C’est un entraîneur extraordinaire, il a tout pour être sélectionneur", ajoute la ministre.
Un choix (presque) sans débat
Si Zidane semble destiné à occuper le poste, la ministre prend toutefois soin de rappeler que la France regorge de techniciens talentueux. Elle cite notamment Thierry Henry, qui a mené les Bleuets à une médaille d’argent aux Jeux Olympiques. Mais entre prudence diplomatique et réalité du terrain, une tendance se dessine nettement : sauf coup de théâtre, Zizou s’apprête à enfiler le costume de sélectionneur.
L’histoire est en marche. Reste à savoir quand l’annonce officielle viendra lever les derniers faux mystères…