Real Madrid – Arsenal : les Gunners foncent vers le Bernabeu… mais avec un grain de sable dans la machine

Ghnitcha
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Le Real Madrid s’apprête à recevoir Arsenal ce mercredi au Santiago Bernabeu, pour un quart de finale retour de Ligue des Champions qui s’annonce électrique. Mais si les Gunners se présentent avec un avantage très confortable (3-0 à l’aller), un petit nuage vient troubler leur ciel presque parfait… et il porte un nom : Thomas Partey.

Arsenal en mode rouleau compresseur… ou presque


La semaine dernière, les Londoniens ont frappé un grand coup. Trois buts, zéro encaissé, une domination presque insolente à l’Emirates face à un Real Madrid méconnaissable. Le récital a commencé par deux coups francs millimétrés de Declan Rice, et s’est terminé avec une finition chirurgicale signée Mikel Merino. De quoi faire danser les supporters anglais… et trembler ceux de la Maison Blanche.

Mais voilà, à l’heure de retrouver les étoiles madrilènes sous le ciel du Bernabeu, une interrogation vient troubler le plan de vol : Thomas Partey, l’homme-orchestre du milieu, est incertain.

Un grain de sable nommé Partey


D’après les informations du Mirror Football, le milieu ghanéen, impérial à l’aller, aurait reçu un coup lors d’un entraînement récent. Rien de spectaculaire à première vue, mais suffisamment sérieux pour remettre en question sa présence dans le onze de départ. Pour Mikel Arteta, qui comptait bien remettre les mêmes soldats sur le terrain pour finir le travail, c’est un véritable casse-tête.

Partey n’a peut-être pas inscrit de but mardi dernier, mais son rôle dans l’équilibre du milieu de terrain a été crucial. Il a coupé les transmissions, distribué les ballons avec sagesse, et muselé les tentatives d’incursion des Merengue comme un videur à l’entrée d’un club sélect.

À Madrid, on y croit encore (ou du moins, on essaie)


Côté madrilène, malgré la gifle reçue à Londres, la confiance n’a pas complètement disparu. Il y a bien eu cette défaite face à Arsenal, certes, mais l’ADN du Real Madrid en Ligue des Champions, c’est justement de renaître quand tout semble perdu. Certains supporters y voient même des signes : la blessure de Partey, l’effet Bernabeu, la météo, la pleine lune, tout y passe pour nourrir l’espoir.

Dans les couloirs du club madrilène, le discours est clair : "on peut le faire". Après tout, le Real a déjà renversé des montagnes dans cette compétition. Mais cette fois, ce n’est pas une colline qu’il faut franchir… c’est un Everest.

Une mission presque impossible, mais pas totalement


Le scénario est simple : marquer trois buts, ne pas en encaisser, et pousser Arsenal à sortir de sa zone de confort. Pas évident quand on voit la solidité défensive des Gunners cette saison. Mais dans le foot, les retournements de situation sont monnaie courante, surtout quand le Real Madrid est concerné.

Du côté des fans anglais, on reste prudents. L’exploit de l’aller est énorme, mais personne ne veut vendre la peau de l’ours merengue avant de l’avoir enfermé dans une armoire à trophées.

 

Verdict : une bataille tactique… et un suspense qui tient en un mollet


Ce quart de finale retour s’annonce palpitant, entre une équipe d’Arsenal aux portes de l’exploit, et un Real Madrid qui refuse de mourir sans livrer bataille. Mais au-delà des stratégies, des chiffres et des ambitions, une question subsiste : Thomas Partey sera-t-il là pour tenir la baraque ?

Une absence qui pourrait tout changer… ou pas. Réponse ce mercredi soir, dans l’un des théâtres les plus magiques d’Europe.

 

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